Il faut prendre le coup de main pour ne conserver dans la batée, cette
espèce de chapeau
chinois métallique, que les minéraux
les plus lourds dont le précieux métal. Très vite, chaque
stagiaire a pu récolter quelques grains d'or. Rien de miraculeux,
les plus gros ne dépassant pas quelques milligrammes.
Ces quelques parcelles d'or sont la juste récompense d'un travail
assez long passé à remuer des alluvions, à les tamiser, à les laver et à les
trier. Quant au fond de la batée apparaissent les particules jaunes, les visages
s'éclairent.
La magie de l'or n'est pas prête
de disparaître.
Hervé
CHASSAIN.
NOS PHOTOS
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Les pieds dans l'eau, l'apprentissage de la batée.
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La récolte des précieuses paillettes.
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Une démonstration d'une drague suceuse qui fait le travail
de quinze personnes.
Sous les conseils de Paul, un stagiaire à la recherche du bon
mouvement de la batée.
— (Photos
La Dépêche .
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